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Léa Bailleux

"Dans le cadre de l’exposition Ecomorphose, je propose de présenter un ensemble de photographies rétro-éclairées, puis gravées à la main, accompagné d’un assemblage poétique.


Y seront représentées des animaux hybrides composés de différentes espèces disparues par la cause de l’homme. Ces dessins de chimères contemporaines seront dessinées à la plume sur le tirage. la surface de la photographie, imprimée sur papier translucent sera donc grattée. Les silhouettes des chimères animales apparaitront, telles des fantômes, rétro-éclairées par la lumière. Les photographies sont des vues urbaines pour la plupart. 3 à 4 petits caissons lumineux (30x40cm) seront présentés. Il s’agit dans cette série de metre en lien le connu et l’irréel, le paysage urbain et la chimère, afin de susciter un sentiment de nostalgie chez le spectateur. premier e et escompté.

 

Le deuxième effet, à savoir le choc et l’éventuelle prise de conscience viendra d’une autre pièce. Il s’agit d’un petit caisson noir, dans lequel est présenté une petite pierre rose ayant pour légende : « Restes fossiles d’un labrador beige, retrouvé Place de la République après la catastrophe nucléaire de 2019 ». La proximité tant géographique, ainsi que le labrador, figure animale domestique réconfortante par excellence, agiront sur le spectateur." (Léa Bailleux)

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